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Phiên bản lúc 12:19, ngày 25 tháng 6 năm 2010
Theo bộ giáo dục Pháp [1], grande école là một trung tâm đào tạo cao cấp, các sinh viên được tuyển chọn thông qua những kì thi gắt gao và sẽ được hưởng những chương trình giáo dục tiên tiến.
Những "grande école" đầu tiên được tạo dựng bởi chính phủ Pháp vào thế kỷ thứ XVIII với mục đích là cung cấp cán bộ kỹ thuật, quân sự cho nhà nước.
Lịch sử
Trong cuộc cách mạng tư sản Pháp, một số chính khác như Napoléon Bonaparte, Condorcet, Lazare Carnot en sont issus. Ce dernier avec Gaspard Monge, un mathématicien, a créé en 1794 l'École polytechnique, presqu'en même temps qu'était créée l'École normale de l'an III par Lakanal. Dans la même logique, les anciennes facultés de médecine et de droit seront rétablies comme des école de droit et École de médecine, indépendantes de l'université.
Năm 1794 : Thành lập ba "grande école" :
- l'École centrale des travaux publics, sau này là École polytechnique
- l'École normale, sau này là École normale supérieure
- le Conservatoire national des arts et métiers
Antoine-François Fourcroy, dans son Rapport fait à la Convention sur l’organisation des écoles destinées aux divers services publics du 30 vendémiaire an IV, définit la doctrine de l’École spéciale qui pour Thuillier[2] vaudra aussi pour tous les projets d’ENA jusqu’en 1945 : « il est nécessaire que les sujets admis dans ces écoles y soient dans un nombre correspondant au besoin du service, qu’ils se consacrent dès leur entrée dans cette carrière à servir l’État ».
La loi qui organise les écoles de services publics du 30 vendémiaire an IV en fixe la liste suivante :
- École polytechnique
- Conservatoire national des arts et métiers
- École d'artillerie
- École des ingénieurs militaires
- École nationale des ponts et chaussées (Ponts ParisTech)
- École nationale supérieure des mines de Paris (Mines ParisTech)
- École nationale supérieure de techniques avancées (ENSTA ParisTech)
- École des géographes
- Écoles de marine (école navale)
- École des ingénieurs de vaisseaux (qui deviendra l'École nationale supérieure du génie maritime, puis sera incorporée dans l'(ENSTA ParisTech)
- Écoles de navigation (anciennes écoles de mathématiques et d'hydrographie pour la marine de l'état et écoles d'hydrographie destinées à la marine du commerce)
La loi Daunou sur l'organisation de l'instruction publique du 3 brumaire de l'an IV établit, outre les écoles primaires et les écoles centrales, des écoles spéciales destinées à l'étude de:
- l'astronomie
- la géométrie et la mécanique
- l'histoire naturelle
- la médecine
- l'art vétérinaire
- l'économie rurale
- les antiquités
- les sciences politiques
- la peinture, la sculpture et l'architecture
- la musique
ainsi que des écoles pour les sourds-muets et pour les aveugles-nés.
Seules les écoles de santé et les écoles d'économie rurale vétérinaire seront créées. Une École spéciale des langues orientales est également crééeBản mẫu:Refnec.
L'École polytechnique organise le recrutement par concours et la formation préalable des ingénieurs de l'État, en amont des écoles d'applications (École des ponts et chaussées, École des mines, École du génie et de l'artillerie de Metz, École de la marine, École du génie maritime, École spéciale de géographie et de topographie).
La loi générale sur l'instruction publique du 11 floréal de l'an X crée les lycées, maintient les écoles spéciales existantes et institue :
- dix écoles de droit,
- trois nouvelles écoles de médecine,
- quatre écoles d'histoire naturelle, de physique et de chimie,
- deux écoles spéciales pour les arts mécaniques et chimiques,
- une école de mathématiques transcendantes,
- une école spéciale de géographie, d'histoire et d'économie publique,
- une quatrième école des arts du dessin.
Elle crée également :
- l'École Spéciale Militaire de saint Cyr, implantée en premier lieu dans le chateau de Fontainebleau, sous la protection directe de l'Empereur qui tenait à garder un oeil particulier sur les futurs officiers de l'Empire. Cette Grande ecole prestigieuse sera ensuite déplacée à Saint Cyr, dans les bâtiments construits pour l'ancien collège de filles créé par Madame de Maintenon.
« Lorsque les élèves auront fini leurs six années d'études dans les lycées, leur application et leurs progrès trouveront, au premier terme de leurs travaux, une nouvelle carrière d'espérance et de succès. Deux dixièmes d'entre eux seront placés dans les diverses écoles spéciales, où ils continueront d'être instruits et entretenus aux frais du trésor public, de manière à acquérir avec gloire un état et une existence assurés dans la république. Jamais avantage plus grand n'a été offert à la jeunesse studieuse. La bonne conduite, l'attachement à leurs devoirs, les études fructueuses, conduiront ceux des élèves qui se seront le plus distingués, à puiser dans les sciences ou dans les arts libéraux les moyens de parvenir à une profession honorable. Jurisprudence, médecine, mathématiques, physique, art militaire, manufacture, diplomatie, administration, astronomie , commerce, peinture, architecture, toutes les routes du savoir et des talens qui rendent les hommes chers et utiles à leurs semblables, leur seront ouvertes. Ceux qui ne passeront pas par ce genre de concours dans les écoles spéciales, pourront se destiner, par une étude particulière des mathématiques, aux écoles de services publics, et s'ouvrir ainsi une autre carrière non moins glorieuse et non moins avantageuse dans le génie, l'artillerie, la marine, les ponts et chaussées, les mines et la géographie. » (Extrait du discours prononcé au corps législatif par Antoine-François Fourcroy, orateur du gouvernement, sur le projet de loi)
L'arrêté des consuls de la république du 12 vendémiaire de l'an XI réunit les écoles d'artillerie et du génie pour former une école commune aux deux armes nommé École d'artillerie et du génie et établie à Metz. L'admission se fait sur examen parmi les élèves de l'École polytechnique. La loi du 21 germinal de l'an XI établit 6 écoles de pharmacie.
La loi di 10 mai 1806, relative à la formation d'une Université impériale et le décret du 17 mars 1808 fixant son organisation remettent en cause le développement des écoles spéciales au profit de la mise en place d'un système universitaire centralisé organisé selon les trois grades des anciennes universités (baccalauréat, licence, doctorat), déjà rétabli dans les écoles de droit. Les écoles de droit et de médecine sont transformées en facultés alors que les écoles de services publics restent en dehors de l'Université.
Restauration
- 1816 : Création de l'École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne (dite École de Mineurs)
- 1818 : Création du concours d'entrée à l'École normale, différencié pour la section des lettres et pour la section des sciences
- Création de l'École navale.
- 1819 : Création de l'Ecole supérieure de commerce de Paris.
- 1821 : Création de l'École nationale des chartes
- 1824 : Création de l'École royale des eaux et forêts (dite École forestière)
- 1826 : Création de l'Institution royale agronomique de Grignon
- 1829 : Création de l'École centrale des arts et manufactures pour former des ingénieurs civils
Second Empire
- 1854 : Création de l'École des arts industriels et des mines de Lille qui deviendra l'Institut industriel du Nord puis l'École centrale de Lille.
- 1857 : Création de l'École centrale lyonnaise pour l'Industrie et le Commerce qui deviendra l'École centrale de Lyon.
- Ouvertures des écoles de formation des ingénieurs de l'État (Mines, Ponts) aux élèves externes (diplômes d'ingénieur civil en 1816[3] pour l'École des mines, en 1851 pour l'École des Ponts), création de nouveaux concours d'entrée.
- Le baccalauréat est rendu obligatoire pour l'inscription au concours d'entrée de l'X.
- 1866 : Le lycée Saint-Louis crée différentes divisions préparant aux écoles suivantes :
- École polytechnique,
- École normale supérieure (sciences),
- École centrale,
- École forestière
- Saint Cyr,
- auxquelles s'adjoint en 1885 une division préparant au concours d'entrée de l'École navale.
Troisième République
- 1871 : Création de l'Ecole libre des sciences politiques, devenue Institut d'études politiques de Paris (Sciences Po).
- Création d'écoles de commerce à Rouen (1871), Lille (1872), Lyon (1872), Marseille (1872), Bordeaux (1874).
- 1875 : Loi sur l'enseignement supérieur libre. Création des Classes préparatoires littéraires (classe de rhétorique supérieure)
- 1878 : Création de l'École Supérieure de Télégraphie, qui deviendra l'École Supérieure des Postes & Télégraphes puis l'École nationale supérieure des télécommunications (ENST).
- 1881 : Création de l'Ecole des Hautes études commerciales de Paris (HEC).
- 1882 : Création de l'École de Physique et de Chimie Industrielles de la Ville de Paris (aujourd'hui ESPCI ParisTech)
- 1890 : Création d'un concours commun d'admission aux écoles d'agronomie
- 1891 : Création de l'École d'ingénieurs de Marseille qui deviendra l'École supérieure d'ingénieurs de Marseille (école fondatrice de l'École centrale de Marseille)
- 1894 : Chú thích trống (trợ giúp)
- 1904 : Création de l'École Breguet qui deviendra par la suite l'École supérieure d'ingénieurs en électronique et électrotechnique (ESIEE)
- 1905 : Création de l'Ecole Spéciale de Mécanique et d'Electricité par Joachim Sudria (ESME Sudria)
- 1907 : Création du titre d'ingénieur arts et métiers, le brevet des Arts et Métiers est équivalent au bac, les diplômés des Arts et Métiers peuvent intégrer l'École centrale ou l'École supérieure d'électricité après un an de Mathématiques spéciales.
- 1907 : Création des classes de mathématiques spéciales préparatoires (Mathématiques supérieures).
- 1907 : Création du "Cours Municipal d’Electricité Industrielle" à Toulouse, qui deviendra par la suite l'École nationale supérieure d'électrotechnique, d'électronique, d'informatique, d'hydraulique et des télécommunications(ENSEEIHT)
- 1930 : Création par décret de L’Institut de science financière et d'assurances à Lyon afin de former les Actuaires nécessaire aux compagnies d'Assurances.
IVe et Ve République
Création d'autres écoles supérieures
Typologie des grandes écoles
Il n'existe pas de définition précise, ni de liste officielle des grandes écoles.
Le terme grande école figure cependant dans l'Arrêté du 27 août 1992 relatif à la terminologie de l'éducation qui en donne une définition beaucoup plus large: "Etablissement d’enseignement supérieur qui recrute ses élèves par concours et assure des formations de haut niveau. Note : La tutelle d’une grande école est assurée par un ministère qui n' est pas obligatoirement l’Éducation nationale."[1]
En dehors des textes législatifs et réglementaires qui évoquent les "classes préparatoires aux grandes écoles", l'expression grande école n'est pas employé dans le Code de l'éducation, mais le Ministère de l'Éducation nationale emploie l'expression d'écoles supérieures pour désigner tous les établissements d'enseignement supérieur qui ne sont pas des universités ou des formations en alternance[4].
Écoles préparant à la haute fonction publique de l'État
Comme le montre leur histoire, l'expression grande école désigne traditionnellement un petit nombre d'écoles de la fonction publique de haut niveau destinées à former et à recruter par un concours national public les hauts fonctionnaires membres des grands corps de l'État :
- l'École nationale d'administration (ENA).
- les écoles normales supérieures
- École polytechnique[5] (X),
- Mines ParisTech,
- École des Ponts ParisTech,
- ENSAE ParisTech
- École nationale de la statistique et de l'analyse de l'information,
- TELECOM ParisTech,
- École spéciale militaire de Saint-Cyr,
- École navale,
- École de l'Air,
- École nationale des chartes
- École du service de santé des armées de Lyon-Bron
- École nationale de la magistrature
- École nationale du génie rural, des eaux et des forêts[6] (ENGREF) école interne d'Agro Paris Tech,
- les Institut d'études politiques (Sciences Po),
- l'École nationale des services vétérinaires (ENSV), école interne de VetAgro Sup,
- l'École centrale des arts et manufactures (centrale) (la seule à ne pas être une école de la fonction publique, parce que son concours d'entrée se passe avec les mêmes préparations que les autres).
Écoles préparant aux fonctions commerciales et bancaires
Bản mẫu:Référence nécessaire, les principales écoles supérieures de commerce, font l'objet chaque année d'un classement des école supérieure de commerce en France parfois appelées « grande école de commerce » dans des magazines. Il ne s'agit pas de grande école au sens définis par l'état puisqu'il s'agit d'établissement privés mais l'usage inadapté de ce terme n'est pas sanctionné par la loi comme peuvent l'être certains autres termes. En tête de ce palmarès, on trouve par exemple pour 2009 dans L'Étudiant[7]:
- 1°. - École des Hautes études commerciales (HEC) (Chambre de commerce et d'industrie de Paris)
- 2°. - Écoles supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC)
- 3°. - ESCP Europe (Chambre de commerce et d'industrie de Paris)
Une association professionnelle loi 1901, nommée Conférence des grandes écoles, regroupant aujourd'hui environ 230 écoles supérieures, a été créée pour faire la promotion de l'idée de grande école comme label de qualité, ainsi qu'un diplôme de mastère spécialisé, le MS (déposé comme une marque commerciale) qu'elle propose à toutes les filères d'enseignement supérieur, y compris universitaires, dont le diplôme sanctionne cinq ans d'études dans tous les domaines (ingénieur, commerce, vente, d'art, informatique, etc.).
Une autre association, Club carrières grandes écoles (dite aussi le G16+), fondée en 1982, regroupe seize associations d'anciens élèves d'écoles ou de formations supérieures : AgroParisTech,ENSAI, Centrale Paris, EDHEC , EMLYON, ENA, ENSAE, ESCP/ EAP , ESSEC, ETP, Harvard (HBS Club de France), HEC, IAE de Paris, INSEAD, Mines (ParisTech, Saint-Étienne et Nancy), Navale, Normale Sup (ENS), Polytechnique, Ponts et Chaussées ParisTech, Travaux publics (ESTP), Sciences Po Paris, SupAero, SupÉlec, Télécom ParisTech, ainsi que le Conseil national des ingénieurs et des scientifiques de France (CNISF)[8].
Remise en cause de la persistance des grandes écoles
Le système redondant de l'enseignement supérieur français caractérisé par l'existence de structure d'enseignement supérieur en dehors des universités est l'objet de critiques multiples.
La critique la plus fréquente de cette exception française est celle d'être un outil de reproduction sociale, comme le pointe la FSE[9], d'une micro-élite, « qui se serre les coudes à la tête des grandes entreprises et ne s’ouvre pas aux talents extérieurs ni ne se remet en cause » si on se réfère aux auteurs du livre Grandes écoles, la fin d'une exception française[10], cette endogamie est considérée comme un non-sens économique et est accusée de constituer une réseaucratie.
La plupart des grandes écoles sont publiques et quasiment gratuites, mais les sommes consacrées par étudiant sont bien plus importantes que ce qui est consacré par étudiant dans l'université, alors même que les élèves sont issus en moyenne de classes sociales plus élevées, une sorte de « redistribution à l’envers »[10].
Les conséquences en matière de faiblesse de la recherche privée sont aussi pointés[10] · [11] · [12]. Le syndicat SUD étudiant estime que, « les grandes écoles sont très largement coupées de la recherche et les dirigeants d’entreprises qui en sont issus n’ont en général eu aucun contact avec la recherche, contrairement a ce qui se fait de façon presque généralisée au sein de l’université, de ce fait ces dirigeants ne comprennent rien à la recherche et nous avons un pays où la recherche privée est quasiment inexistante »[13]. Selon Pierre Veltz, « l’essentiel de la recherche en France est dans les universités et non pas dans les écoles »[14]. Cependant la conférence des grandes écoles indique que le nombre de thèses soutenues au sein des grandes écoles augmente, indiquant un renforcement de la recherche au sein de celles-ci[15].
Cette juxtaposition de deux systèmes d'enseignement supérieur favoriserait aussi le développement de l'enseignement supérieur privé assimilé dans l'imaginaire collectif aux grandes écoles et donc constituerait, selon le syndicat SUD étudiant, « un terreau propice pour le développement en dehors de l’université d’un enseignement supérieur de qualité inférieure obéissant aux mécanismes de marché, une image flatteuse, un enseignement au mieux équivalent a celui de l’université (leurs enseignants en sont souvent issus), des frais de scolarité souvent assez élevés et une sélection plus ou moins fictive, c’est la galaxie des écoles privées dont la qualité est très variable et qui pour la plupart tentent d’être assimilées dans l’esprit des clients aux véritables grandes écoles. »[13].
Parmi les personnalités politiques qui se sont prononcées en faveur d'une suppression des grandes écoles, l'on peut remarquer Vincent Peillon, en février 2010[16].
Voir aussi
Xem thêm
Liens externes
Références
- ^ a b Arrêté du 27 aout 1992 relatif à la terminologie de l'éducation.
- ^ Thuillier, 1983, p.30
- ^ "En 1816, l'Ordonnance Impériale institue désormais deux catégories d'élèves bien distinctes : aux élèves-Ingénieurs destinés au recrutement du corps de Mines viennent s'adjoindre ceux que l'on appelle alors des "élèves externes"
- ^ "L'enseignement supérieur (...) Niveaux d'enseignement. Les formations longues. Il existe en France deux grands types d'établissements permettant de suivre des études supérieures longues : les universités et les écoles spécialisées. Les universités. Les universités françaises sont des établissements publics. (...) Les écoles supérieures. Les écoles supérieures sont des établissements sélectifs publics ou privés dont l'enseignement prépare à des pratiques professionnelles spécialisées, par exemple dans les domaines des sciences de l'ingénieur, de l'architecture, du commerce et de la gestion, ou encore de la traduction, de l'interprétariat, du journalisme. (...) " Site du Ministère de l'Éducation nationale français
- ^ Cité comme exemple : V° Grande école. , n. f. Domaine : Éducation/ Enseignement supérieur et recherche. Définition : Établissement d’enseignement supérieur qui recrute ses élèves par concours et assure des formations de haut niveau. Note : La tutelle d’une grande école est assurée par un ministère qui n' est pas obligatoirement l’Éducation nationale. On citera par exemple l’École polytechnique sous la tutelle du ministère de la Défense, l’École nationale du génie rural, des eaux et des forêts sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et de la Forêt, etc.Arrêté du 27 août 1992 relatif à la terminologie de l'éducation.
- ^ Cité comme exemple : V° Grande école. , n. f. Domaine : Éducation/ Enseignement supérieur et recherche. Définition : Établissement d’enseignement supérieur qui recrute ses élèves par concours et assure des formations de haut niveau. Note : La tutelle d’une grande école est assurée par un ministère qui n' est pas obligatoirement l’Éducation nationale. On citera par exemple l'École polytechnique sous la tutelle du ministère de la Défense, l’École nationale du génie rural, des eaux et des forêts sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et de la Forêt, etc. Arrêté du 27 août 1992 relatif à la terminologie de l'éducation.
- ^ Palmarès de L'Étudiant
- ^ [1]
- ^ http://bellaciao.org/fr/spip.php?article97020
- ^ a b c Grandes Écoles, la fin d’une exception française
- ^ Grandes écoles - Le Monde - 4 janvier 2010
- ^ Grandes Écoles: cette porte étroite qui désespère trop d'élèves
- ^ a b Grandes écoles, laissons les mourir !
- ^ Étude comparée des différents systèmes d’enseignement supérieur : Ce que les grandes écoles peuvent apprendre des systèmes éducatifs étrangers
- ^ Le nombre de thèses soutenues dans les grandes écoles a augmenté de 20% en trois ans
- ^ http://www.liberation.fr/societe/0101617117-c-est-une-injustice
Bibliographie
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- Jacques Attali, 1998, Pour un modèle européen d’enseignement supérieur (Lire en ligne)
- Olivier Basso, Philippe-Pierre Dornier, Jean-Paul Mounier, Tu seras patron mon fils ! Les grandes écoles de commerce face au modèle américain, Paris, Village Mondial, 2004.
- Michel Bauer et Bénédicte Bertin-mourot, Les 200 en France et en Allemagne. Deux modèles de détection, sélection, formation des dirigeants de grandes entreprises, Paris, CNRS/Heidrick and Struggles, 1992.
- Pierre Bourdieu, Monique de Saint Martin,La Noblesse d’État. Grandes écoles et esprit de corps, Paris, Minuit, 1989.
- Denys Cuche, “La fabrication des ‘Gadz’arts’. Esprit de corps et inculcation culturelle chez les ingénieurs Arts et Métiers, Ethnologie française, 1988, XVIII, 1. pp. 42-54
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- Gilles Lazuech, « La question de la formation des « managers » dans les écoles de commerce et d’ingénieurs en France depuis le début des années 80 », in Monique de Saint Martin, Mihai Dinu Gheorghiu (dir.), Les écoles de gestion et la formation des élites, Paris, MSH, 1997, pp. 203-222.
- Gilles Lazuech, L’exception française. Le modèle des grandes écoles à l’épreuve de la mondialisation, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 1999.
- Henri Le More, Classes dirigeantes, classes possédantes. Essai sociologique sur l’École des Hautes Études Commerciales, Paris, EHESS, thèse de doctorat, 1976.
- Henri Le More, « L’invention du cadre commercial : 1881-1914 », Sociologie du travail, n°4, 1982, pp. 443-450.
- Leon A., Roche P., Histoire de l’enseignement en France, Puf
- Philippe Maffre, Les Origines de l’enseignement commercial supérieur en France au Bản mẫu:S-, Paris, université Paris-I, thèse de doctorat, 1983.
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- Marc Meuleau, Les HEC et l’introduction du management en France, Paris, Université Paris X- Nanterre, thèse d’État, 1992.
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- Marc Nouschi, HEC. Histoire et pouvoir d’une grande école, Paris, Robert Laffont, 1988.
- Monique de Saint Martin, Mihai Dinu Gheorghiu (dir.), Les écoles de gestion et la formation des élites, Paris, MSH, 1997.
- Thuillier G., 1983, L’ENA avant l’ENA, Puf.
- Pierre Veltz, « Faut-il sauver les grandes écoles ? », Presses de Science Po.
- Michel Villette, « École de l’élite et savoirs ordinaires. L’École supérieure de commerce de Paris en 1990-1992 », in Monique de Saint Martin, Mihai Dinu Gheorghiu (dir.), Les Écoles de gestion et la formation des élites, Paris, MSH, 1997, pp. 140-158.
Bản mẫu:Recherche publique française